Macron et l’apprentissage : des améliorations à venir

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L’apprentissage serait-il une formation qui destinée à ceux qui ne réussissent pas ? Focus sur cette formation très populaire dans l’univers de la coiffure et les pistes d’amélioration de ce quinquennat. 

 

Les chiffres et la date clé, vers l’amélioration de cette formation

 

Mal vue, elle réussit pourtant très bien en Allemagne, ou les jeunes sont orientés vers des filières professionnalisantes, en particulier dans l’artisanat.

Dès le 12 octobre, le président de la République démarrera les concertations concernant l’apprentissage, qui concerne seulement 7% des jeunes, dans une optique de relever la courbe du chômage chez les moins de 25 ans :

Tous les pays qui ont vaincu le chômage de masse affichent un taux de 15 %, voire 20 % (d’apprentissage)” rapporte Muriel Pénicaud, la ministre du travail, appuyée par Jean-Michel Blanquer, ministre de l’éducation.

 

Un problème de recrutement ?

 

La moyenne nationale montre que les jeunes aient du mal à trouver des entreprises dans lesquelles travailler. Salon de coiffure, n’hésitez plus à embaucher !

L’idée serait de réformer l’apprentissage, en relevant les freins et verrous du code du travail afin que les formations démarrent absolument en septembre.

Ce serait aussi l’occasion de baisser les charges patronales, afin de pouvoir plus embaucher mais surtout palier aux aides qui ont pu être supprimées.

 

Une image à redorer

 

A tort, les formations en alternance, telles que celles menant vers la coiffure sont considérées comme “des sous métiers”.  C’est navrant, mais toute la branche en pâtit.

En amont, cela peut fortement décourager des élèves motivés : les à priori, qui viennent des enseignants, conseillers d’orientation voir des familles, découragent les jeunes à apprendre un métier via l’apprentissage.

 

Mais que va donner ce quinquennat pour l’apprentissage ?

 

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