Espoir : les chevelures de remplacement

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Les prothèses capillaires ou plus communément appelées « perruques » et implants, accompagnent votre clientèle dans des moments très critiques de leur vie. Car la perte de cheveu s’accompagne souvent de perte de confiance en soi, des confrères se spécialisent et redonnent le sourire à leurs client-es.

 

Un réel plus pour votre salon de coiffure : vous spécialiser dans l’accompagnement des personnes en perte de confiance en soi grâce aux chevelures de remplacement.

 

Des multiples raisons à une chevelure clairsemée mais il existe des solutions

 

Calvitie, maladie grave, stress, alopécie… Un remplacement capillaire est faisable, qu’il passe par la perruque ou par des implants.

 

La perruque, comme vous la connaissez, se compose d’un filet où des mèches sont cousues. Elle se porte et s’enlève facilement mais n’est pas compatible avec des activités sportives.

L’implant non chirurgical est composé de peaux synthétiques type « membrane » sur laquelle sont posées des mèches, imitant une implantation naturelle, en toute discrétion. Contrairement à la perruque, l’implant est compatible avec une vie active.

 

Un réel plaisir pour ces spécialistes : le sourire revenu grâce aux chevelures de substitution

 

Bénédicte Roche du salon Karact’Hair et Michèle Andrieu se spécialisent dans les chevelures de remplacement (nom qu’elles préfèrent au mot perruque).

 

Leur procédé est le suivant : elles rencontrent leur client dans un salon privatif, discutent de la couleur, de la texture voulue, établissent ensemble l’aspect de la chevelure pendant 6 à 8h en répondant à leurs questions, puis se chargent des démarches administratives. Une chevelure est remboursée à hauteur de 125 euros par la sécurité sociale.

 

Une fois, c’est une cliente qui avait perdu toute confiance en elle, qui après réception, a osé enfin ressortir et venir au salon. Un moment d’émotion qui n’a pas de prix.

 

Très proches de leur clientèle, ces spécialistes n’hésitent pas à se déplacer dans un rayon de 40km.

Elles expliquent que parfois, ces rendez-vous sont très durs :

« Parfois, on pleure avec nos clientes. Pendant longtemps, j’ai cru que je m’y ferai, mais c’est faux. Récemment, j’ai craqué face à la maladie d’une jeune d’une vingtaine d’années » raconte Michèle.

 

 

Une très belle initiative de leur part. Le feriez-vous ?

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