Le portrait : Loris Hug, à la tête de 4 salons dans le nord-est, coach, Business Developer pour le groupe Aveda

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Avec une vision à 360° du métier, Loris Hug fait partie des noms qui comptent. Coach, formateur, auteur, entrepreneur… Il partage ce qu’il a appris au gré d’une carrière riche et diverse. Avec générosité et passion.

Depuis l’ouverture de son premier salon en 2001, Loris a travaillé avec les plus grandes maisons (Tigi, Schwarzkopf, GK Hair, Exthand), a créé sa propre marque (Sup Hair Star), écrit des livres et décroché des titres enviés. Bref, il fait partie de ses rares noms qui connaissent le métier sur le bout des doigts, avec une vision à 360°. Élu Mentor de l’année au Best Emerging Talent Estetica en 2021, il signe aujourd’hui son troisième livre, Cut Contact, un ouvrage de 60 pages dont la couverture a été imaginée par Anthony Galifot et la préface rédigée par Michel Gomez, directeur d’Artemis, dont il est proche puisqu’il participe au développement de Label Coiffure. Disponible en version papier ou digitale, son livre dévoile sa vision du salon post-Covid, et explique aux gérants et à leurs collaborateurs les grands changements à opérer pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs. Car Loris Hug a la générosité de ceux qui aiment leur métier. Comme s’il s’était donné pour mission d’aider les coiffeurs à s’élever et s’épanouir. Self made man, autodidacte, à la tête de 4 salons dans l’Est et d’une agence de communication – il est également photographe –, il accompagne aussi ceux qui le souhaitent en tant que coach avec son entreprise (Loris Hug Coaching) et auprès d’Aveda en tant que business développer. Autres actualités ? En collaboration avec Label Coiffure et Artemis, il développe une franchise sous le nom de « Garçonne ». Il vient aussi de lancer le Club +, une offre de formation avec deux rendez-vous par mois en visio. Les adhérents ont aussi accès à une application aux contenus variés, et à une formation en présentiel gratuite une fois par an (dans différentes villes de France).

Sa vision du métier

« La crise sanitaire a accéléré la révolution numérique. La perception des consommateurs a fait un bond de cinq ans. Hélas, les salons n’ont pas suivi. Il y a un vrai décalage entre ce qu’ils proposent et l’attente des clientes qui veulent des réponses à la minute. Il est urgent de faire bouger les lignes. Beaucoup trop de gérants ne gagnent que 800 euros par mois. Le manque de rentabilité les empêche d’investir dans des…

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Catégories: Actualités