Exercez la coiffure dans les plus beaux pays du monde

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Beaucoup d’entre vous rêvent de voyager à l’autre bout du monde. Toutefois, pour partir en vacances, il faut de l’argent… sauf si vous êtes un coiffeur voyageur grâce au visa « Working Holiday ».

 

 

Pour vous expliquez simplement, le visa Working Holiday est un visa qui vous permet d’entrer dans un pays et d’y travailler pendant une durée déterminée. Selon la destination désirée, la demande de visa est plus ou moins simple. Par exemple, pour l’Australie la demande se fait en quelques minutes sur le site de l’immigration, puis vous recevez votre visa par email. En revanche, pour d’autres pays, c’est plus compliqué. Le Canada impose des quotas (environ 50 000 demandes pour 7 000 places par an), le visa s’obtient par tirage au sort.

Retour d’expérience

Pour essayer d’en savoir plus sur cette aventure à l’étranger, nous avons interviewé Lauriane Schuler qui est actuellement coiffeuse dans un salon de coiffure à Brisbane en Australie.

 

– Avez vous facilement trouvé un job de coiffeur à l’étranger ?

Ça a été tellement rapide que j’ai encore du mal à y croire. Pour l’histoire : J’ai envoyé mon CV australien à quelques salons, la veille de mon arrivée sur Brisbane. Je suis arrivée en ville un mercredi. Jeudi après-midi j’avais un entretien. Samedi, un essai. Le Mardi je commençais à travailler dans le salon. Il y a beaucoup d’opportunités en Australie et la formation française est très appréciée ! Pour info, le salaire moyen d’un coiffeur en Australie se situe entre 900$ et 1100$ par semaine.

 

– Pour l’instant, que retirez-vous de cette expérience ?

J’apprends, je découvre de nouvelles techniques et astuces tous les jours… J’ai la chance de travailler dans un bon salon de Brisbane. J’y ai découvert notamment un service client qui s’approche de l’excellence par une multitude de petits détails et une approche du monde du travail différente : L’équilibre vie privée/travail est très important ici. Si l’on peut être amené à travailler beaucoup plus qu’en France, on peut se permettre de prendre des congés sans solde quand on le souhaite.

 

– Et en ce qui concerne les techniques ?

Il y a des techniques de coloration différentes et j’ai beaucoup appris dans le domaine de la communication. Je suis aussi venue en Australie pour faire une formation chignon particulière auprès d’une coiffeuse très réputée ici. Je compte bien sur tous ces acquis pour proposer un service de qualité et faire la différence quand je rentrerai en France.

La barrière de la langue

Ce qui peut faire peur quand on part travailler dans un nouveau pays, c’est la barrière de la langue. Il faut donc se préparer avant le départ, mais vous verrez c’est bien plu facile quand c’est un désir personnel et non une obligation scolaire. 😉
Vous pouvez par exemple prendre des cours en ligne, ou mieux, prendre des cours du soir. Une fois sur place, à force de pratiquer, vous apprendrez la langue sans même vous en rendre compte.

Si certains d’entre vous sont tentés par l’aventure vous pouvez contacter Lauriane sur Instagram (@_lauriane.s_). Elle se fera un plaisir de vous aider et vous conseiller !

Pour avoir plus d’informations sur les visas working holiday rendez-vous ici : www.pvtistes.net

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