Xavier Niel de Free voit le futur de la coiffure dans Wavy

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Le fondateur de Free, Xavier Niel a annoncé sa volonté d’investir dans la société de logiciels de caisse, Wavy, qu’il estime comme étant une société prometteuse et qui travaille dur. Présentation du fondateur de Wavy, Clément Moreno et de ses motivations à travailler dans l’univers de la coiffure.

 

Comment les logiciels de caisse, ces petits assistants qui peuvent être dorénavant informatiques, participent-ils à l’avenir de la coiffure ?

 

Clément Moreno, l’un des directeurs de Wavy l’explique : pour lui ces outils digitaux optimiseront les procédés des coiffeurs pour leur faire gagner le maximum de temps possible, au quotidien.

Aujourd’hui, son logiciel de caisse « Wavy » s’articule autour de la gestion, mais demain, il se diversifiera, afin d’économiser le maximum de temps aux coiffeurs.

« Avant, la comptabilité, c’était un cahier, une caisse, et 30 pénibles minutes après la fermeture »

Maintenant que la comptabilité est accélérée, via les tablettes, téléphones ou ordinateurs, ce n’est plus qu’un simple de code pour tous les calculs, et moins de prises de tête.

 

Un univers coiffure que Clément Moreno connait bien

 

Dans une optique d’accompagner le coiffeur au quotidien et de permettre à cet artisan du cheveu de se développer rapidement, Clément voit loin et pense aux salons de coiffure indépendants, aux non-franchisés. En effet, il a grandi dans cet univers coiffure et a su identifier les soucis auxquels se heurtent les coiffeurs.

Là où les franchisés avaient un accompagnement en communication, marketing, gérés par les marques, les autres étaient laissés de côté.

Clément voit que pour demain, les outils digitaux optimiseront, par l’action d’un marketing pré-programmé, les actions de relance, qu’il souhaite accessibles à tous.

 

 

Personnaliser l’innovation pour les acteurs de la coiffure

 

 

Les outils d’automation intégrés à la vie quotidienne ne sont pas utilisés dans la coiffure, à tord selon Clément Moreno.

La force de la coiffure, c’est la relation de proximité : vous connaissez vos clients, qui reviendront pour la qualité du service et de la prestation.

Ainsi, cette relation de proximité est à exploiter dans l’automatisation de manière qualitative et personnalisée. Elle doit être intelligente, sympathique et situationelle : sms de rappel ou mails pour une coupe, une couleur, une décoloration des racines…

Ainsi Wavy reste dans la perspective coiffure, tournée vers l’artisan : designer une application qui s’adapte à tout le monde, ergonomique, facile, mais aussi nomade.

C’est aussi prévoir les nouveautés, et pousser plus loin l’outil de gestion : réassort, relance, chatbox, rendez-vous, réseaux sociaux, localisation… Wavy reste avant-gardiste et se présente comme l’outil essentiel pour augmenter le trafic dans son salon mais aussi la fidélisation.

 

Des enjeux qui plaisent aux investisseurs, comme Xavier Niel pour Wavy

 

La route fut longue mais Clément Moreno arbore une réelle énergie et motivation.

Comme un coiffeur qui ouvre son salon, beaucoup de difficultés se sont mises sur son chemin.

Fort de son expérience, il fait ses preuves, aidé de sa connaissance des problématiques, des codes, du terrain du monde de la coiffure.

 

Par son esprit novateur et altruiste, le projet plait, notamment à Xavier Niel et Jean de La Rochebrochard : il faut apporter le dernier cri à un métier qui en a besoin, là où il est actuellement marginalisé et laissé de côté.

Ceci n'est pas une proposition d'investissement.On va investir dans https://wavy.fr/ > J'aime beaucoup le fondateur,…

Publié par Jean de La Rochebrochard sur mardi 14 novembre 2017

 

Après tout, qui ne va pas chez le coiffeur ?

 

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